Toujours en quête de nouvelles inspirations, nous invitons des artistes à s’approprier nos pièces et à les intégrer dans leur univers. Une rencontre entre deux mondes créatifs : découvrez l’illustrateur George Morton.
Peux-tu te présenter ?
Salut ! Je suis George, illustrateur originaire de l’Oxfordshire, au Royaume-Uni, mais qui vit à Londres depuis dix ans. Je crée principalement des scènes et des illustrations figuratives qui se concentrent sur les petits moments ou les joies du quotidien, souvent inspirées par des choses que j’ai vues ou vécues.
Comment décrirais-tu ton univers créatif ?
Dans la plupart des aspects de ma vie, qu’il s’agisse des vêtements que je porte ou de la décoration de ma maison, j’oscille souvent entre le minimalisme et le maximalisme. Il en va de même pour mes illustrations. J’essaie généralement de trouver un équilibre entre un concept simple et une multitude de petits détails que l’on ne remarque pas forcément au premier coup d’œil.
Ce que je préfère dans le processus de création, c’est penser à ces petits éléments et détails moins visibles et les dessiner, par exemple, le dos des livres sur l’étagère ou le comprimé de vitamine C qui pétille dans mon illustration Tiptoe. J’ai toujours aimé l’idée de pouvoir raconter une histoire avec une seule image, mais aussi de ne pas avoir tout ce qui est immédiatement évident et de devoir faire appel à sa propre imagination pour combler certaines lacunes – et c’est quelque chose que j’essaie généralement d’incorporer dans mon travail.
Où as-tu trouvé ton inspiration pour cette collaboration ?
Ce que j’aime dans les produits Tiptoe : les designs épurés et contemporains, le look minimaliste, la gamme de couleurs et de matériaux disponibles. Il est facile de passer à un style plus maximaliste et d’apporter beaucoup de personnalité à une pièce. C’était vraiment amusant de concevoir une partie d’une pièce en utilisant les produits Tiptoe, mais à travers mon illustration, et de trouver cet équilibre minimaliste et maximaliste que j’essaie souvent d’atteindre.
Peux-tu nous partager un lieu où tu te sens bien ?
En dehors de chez moi, je dirais à peu près n’importe quelle librairie (mais un coup de chapeau particulier à ma librairie locale, Ink@84, à Highbury). Ces dernières années, je suis devenue un grand lecteur et je pourrais passer des heures à les parcourir. Cependant, je suis le pire pour ce qui est d’acheter des livres uniquement en fonction de leur couverture, ce qui m’a malheureusement souvent déçue par le passé (je suppose que c’est de là que vient l’expression…).
Je suis également en train de manifester ma volonté de travailler sur des projets de couvertures de livres, c’est donc un endroit idéal pour trouver de l’inspiration !